Selon la situation de l’enfant ou du jeune (géographique, socio-économique, handicap, etc.), l’accès aux ACM n’est toutefois pas garanti sur tout ou partie de leur temps libre.
Pour y remédier, le droit aux vacances et aux loisirs doit être intégré aux politiques territoriales.
Par leur proximité avec le territoire et les habitants, les collectivités sont l’échelon idéal pour développer des projets éducatifs qui répondent aux besoins locaux.
Mais, elles ne peuvent agir seules. Leur engagement doit s’accompagner d’une implication forte de l’État et de ses services (DRAJES, SDJES, Rectorat, CAF, MSA, MDPH…) et s’inscrire dans des projets locaux rassemblant tous les acteurs concernés (ACM, associations, comités d’entreprise, ANCV, centres sociaux…).